Pour réussir en investissement immobilier, il faut parfois savoir saisir l’occasion qui se présente. Et j’ai un scoop pour vous : le chalet locatif représente actuellement une incroyable occasion!
Les mesures sanitaires et le ralentissement économique qui ont découlé du COVID-19 ont entrainé plusieurs conséquences désastreuses sur les industries du tourisme et de l’évènement. Si moindrement vous lisez les journaux et que vous consultez les sites de nouvelles, vous avez sans doute observé que le mot « crise » a été utilisé pratiquement dans chaque article pour décrire la situation. On parle de la crise sanitaire du Covid-19, puis de la crise économique d’ampleur mondiale qui a suivi.
On utilise beaucoup de mots qui font peur. Mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’opportunité. En temps de crise, il y a beaucoup d’opportunités qui se présentent.
Saviez-vous qu’en mandarin (la principale langue parlée et écrite en Chine), à l’écrit, le mot crise est formé de deux caractères. L’un représente le danger, l’autre l’opportunité. Je trouve que cette représentation illustre bien comment il faut aborder les choses. Et grâce à la crise, le chalet locatif pourrait bien représenter la prochaine grande opportunité de l’investissement en immobilier.
Le chalet locatif à l’ère du Covid-19
À première vue, il serait facile de penser que les chalets locatifs vont perdre trop de revenus pour être financièrement des investissements attrayants.
Pour les propriétaires de chalets locatifs, le tourisme et les événements sont les deux principales vaches à lait qui incitent les voyageurs à louer une chambre ou un chalet. Malheureusement, dans la foulée de la pandémie de Covid-19, la plupart des évènements au Québec ont été annulés et les frontières sont fermées pour une durée indéterminée. De plus, près de la moitié des réservations au Québec proviennent de l’international.
Dans ces circonstances, on pourrait penser que les locateurs de chalet auraient rapidement perdu la majorité de leurs revenus ; pas de touristes, pas de revenus !
Or ce n’est pas tout à fait ce qui est en train d’arriver…
Les locataires québécois sont au rendez-vous
Il y a quelques semaines, le gouvernement a levé la plupart des restrictions imposées au secteur de la location à court terme. Il est donc à nouveau possible de louer un chalet avec Airbnb ou toute autre plateforme de location.
La réponse des locataires ne s’est pas fait attendre, puisque les propriétaires doivent faire face à un raz-de-marée de location. Avec la pandémie, la demande a même quadruplé dans certains cas !
En temps normal, c’est-à-dire avant la pandémie, 40 % des locataires de logements locatifs offerts en location à court terme au Québec sont québécois. 60 % proviennent donc de l’étranger.
Mais si les acheteurs étrangers sont actuellement exclus du marché, comment pouvons-nous expliquer la reprise fulgurante du secteur? C’est bien simple : les 40 % de Québécois déjà locataires ont déjà réservé leurs chalets pour cet été. La différence, c’est que viennent s’ajouter une armée de nouveaux locataires québécois qui en temps normal auraient visité l’étranger plutôt que de prendre leurs vacances au Québec.
Quelque part, c’est normal, puisqu’après plusieurs semaines de confinement, les gens veulent sortir de leurs petits logements et voir du pays. Beaucoup de Québécois qui prévoyaient voyager à l’étranger cet été resteront au Québec et prendront des vacances près de chez eux.
Dans la prochaine année, je m’attends à un engouement croissant pour le chalet locatif, surtout si la situation perdure. Si vous avez un chalet à louer cet été ou cet automne, ou si vous souhaitez investir dans ce secteur, c’est maintenant le temps d’entreprendre les démarches!
Vos 10 actions à poser DÈS MAINTENANT :
- Choisissez la bonne région. Connaissez-vous les trois règles fondamentales de l’immobilier? Emplacement, emplacement et emplacement! Les régions les plus populaires sont les Laurentides, les Cantons-de-l’Est, la Gaspésie et Charlevoix.
- Ciblez la clientèle québécoise, puisque la clientèle étrangère risque de ne pas être au rendez-vous cette année.
- Rassurez les consommateurs en employant un maximum de mesures sanitaires et en l’indiquant clairement dans votre annonce.
- Pour vous démarquer, soyez créatif au niveau des activités à offrir. Les locataires à court terme cherchent avant tout à vivre une expérience.
- Offrez des incitatifs supplémentaires ou des promotions. Si vous offrez un rabais, affichez-le dans le titre de votre annonce.
- Soyez à l’affût des tendances du marché.
- Si vos chalets demeurent inoccupés pour quelques jours, voire quelques semaines, profitez-en pour faire des rénovations.
- Surfez sur la vague. Malgré le déluge de réservations survenues cet été, il est encore temps de profiter de l’engouement pour les chalets locatifs.
- Ayez une vision à long terme. Les perspectives d’enrichissement en immobilier sont beaucoup plus intéressantes quand on regarde loin devant.
- La connaissance, c’est la richesse. Formez-vous dès le départ! Vous pouvez tenter d’apprendre par vous-même, mais vous risquez de commettre de coûteuses erreurs que beaucoup d’autres investisseurs auront commises avant vous. Pour que vos chalets vous procurent une rentabilité maximale, je vous recommande fortement de suivre ma formation 100 % virtuelle S’enrichir grâce au chalet locatif. Si cela vous intéresse, ne tardez pas à vous inscrire, puisque de toutes les formations Immofacile, c’est celle qui est la plus en demande.
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